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Ceux qui appartiennent au jour

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En néerlandais, ils appartiennent au jour. En français, ils perdent le fil.

Après un an d’absence, lors d’un séjour dans sa maison d’enfance, la narratrice retrouve ses proches, une famille de pasteurs néerlandais installés en France.

Avec une douceur infinie, tout en délicatesse, elle évoque les hommes qui « perdent le chemin » : le grand-père qui perd la mémoire, le père fatigué et le fils qui se prépare à l’ordination de pasteur.

La mémoire, les doutes, les émotions et les souvenirs sont décrits avec beaucoup de tendresse et de chaleur ; les chapitres, courts mais suffisamment évocateurs, mêlent des expressions idiomatiques dans les deux langues.

Premier roman touchant et lumineux

F. W.

Ceux qui appartiennent au jour

Auteurs :
Année de parution :
2024
1 vol. ([175] p.) : 19 cm
General : Sélection Prix Les Promesses 2024
A l'occasion d'un séjour de quelques semaines dans sa maison d'enfance, la narratrice observe ses proches, une famille de pasteurs néerlandais installés en France depuis plusieurs années. Avec délicatesse, elle évoque le grand-père qui perd la mémoire, le père fatigué, le fils qui ne sait pas s'il doit suivre la vocation familiale en devenant pasteur à son tour. Premier roman. ©Electre 2024
Disponibilité Section Médiathèque Localisation Cote
Réservé Adultes Médiathèque François Mitterrand 1er étage - Espace Romans R DOUD
Réservé Adultes Médiathèque François Mitterrand 1er étage - Romans R DOUD
En prêt Adultes Bibliothèque Paul Carlat (Sanitas) 1er étage - Espace Romans - Romans R DOUD
En prêt Adultes Médiathèque des Fontaines R DOUD
Réservé Adultes Bibliothèque de la Bergeonnerie Espace Romans R DOUD
En prêt Adultes Bibliothèque Centrale 1er étage - Romans R DOUD
En prêt Adultes Bibliothèque des Rives-du-Cher R DOUD
En prêt Adultes Bibliothèque Centrale 1er étage - Romans R DOUD
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En néerlandais, ils appartiennent au jour. En français, ils perdent le fil.

Après un an d’absence, lors d’un séjour dans sa maison d’enfance, la narratrice retrouve ses proches, une famille de pasteurs néerlandais installés en France.

Avec une douceur infinie, tout en délicatesse, elle évoque les hommes qui « perdent le chemin » : le grand-père qui perd la mémoire, le père fatigué et le fils qui se prépare à l’ordination de pasteur.

La mémoire, les doutes, les émotions et les souvenirs sont décrits avec beaucoup de tendresse et de chaleur ; les chapitres, courts mais suffisamment évocateurs, mêlent des expressions idiomatiques dans les deux langues.

Premier roman touchant et lumineux

F. W.

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