L'heure des oiseaux
Roman inspiré de faits réels, l’affaire de l’orphelinat du Haut de la Garenne. Une jeune femme, ornithologue, se rend sur l’île de Jersey pour enquêter sur le passé de son père qui a été pensionnaire dans un orphelinat en 1959 et au sein duquel les enfants subissaient de mauvais traitements. Il a totalement occulté ce drame ; seul le prénom de Lily lui reste en mémoire. Qui était-elle ? Frappée et malmenée, Lily parvient à s’évader régulièrement dans la forêt où elle écoute le chant des oiseaux, véritable source de réconfort, d’apaisement de ses maux et de sa souffrance. Le récit alterne entre présent avec la quête de la narratrice pour la vérité sur l’enfance de son père et passé, avec l'histoire de Lily et Simon qu’elle a pris sous son aile. Le contraste entre la noirceur de l’histoire et la poésie du texte, ponctué par des notes de couleurs et le chant des oiseaux est saisissant. Les faits sont relatés avec des mots doux, l’écriture est délicate, les chapitres sont courts et la lecture n’en n’est que plus plaisante.
F. W.
L'heure des oiseaux
Roman inspiré de faits réels, l’affaire de l’orphelinat du Haut de la Garenne. Une jeune femme, ornithologue, se rend sur l’île de Jersey pour enquêter sur le passé de son père qui a été pensionnaire dans un orphelinat en 1959 et au sein duquel les enfants subissaient de mauvais traitements. Il a totalement occulté ce drame ; seul le prénom de Lily lui reste en mémoire. Qui était-elle ? Frappée et malmenée, Lily parvient à s’évader régulièrement dans la forêt où elle écoute le chant des oiseaux, véritable source de réconfort, d’apaisement de ses maux et de sa souffrance. Le récit alterne entre présent avec la quête de la narratrice pour la vérité sur l’enfance de son père et passé, avec l'histoire de Lily et Simon qu’elle a pris sous son aile. Le contraste entre la noirceur de l’histoire et la poésie du texte, ponctué par des notes de couleurs et le chant des oiseaux est saisissant. Les faits sont relatés avec des mots doux, l’écriture est délicate, les chapitres sont courts et la lecture n’en n’est que plus plaisante.
F. W.