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Coups de coeur

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Normalement, l’univers de l’auteur est apprécié mais pour cet ouvrage, il y a trop d’aphorismes, de métaphores, beaucoup de répétitions, c’est trop long. R. (Des livres et nous)

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Un roman bouleversant et splendide sur la question de l’identité et du genre mais surtout un texte magnifique sur la tolérance. S.P.

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Un livre palpitant, ou peut-être devrais-je dire terrifiant, qui saura vous donner des frissons ! Vous aurez envie de passer vos vacances dans un manoir écossais…mais attention aux Poupées ! E. SP

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Intéressant, belle imbrication du parcours du personnage dans l’histoire de la Révolution française. Le style n’est pas formidable mais c’est très vivant, ça bouillonne. H. (Des livres et nous)

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Je n’ai pas du tout aimé, alors que j’ai lu de très bonnes critiques sur cet ouvrage. Il y a plusieurs récits narratifs en même temps (le podcast, les ados de l’époque, celui qui a trouvé le corps), on s’y perd et le dénouement est invraisemblable. À chaque début de chapitre, il y a un résumé, c’est très agaçant. S. LD

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L’autrice s’est inspirée de faits réels, les pensionnats d’enfants Indiens au Canada, où sa mère a grandi. Du XIXe siècle au milieu des années 1990, les enfants indiens étaient enlevés à leur famille dès l’âge de 6 ans et envoyés dans les pensionnats catholiques pour « tuer l’indien dans l’indien ». Ils en étaient expulsés à 16 ans, mis dans un bus et envoyés dans les grandes villes sans être préparés à la vie d’adultes. Alcool, drogue, prostitution ont été le lot de beaucoup de ces adolescents. Dans ce roman, on suit cinq « survivants » qui se sont connus au pensionnat et qui, par les hasards de la vie, se retrouvent après leur sortie. Leur quotidien est difficile entre blessures du passé et racisme ordinaire. Certains se révoltent, se battent pour leurs droits alors que d’autres cherchent à se fondre dans la masse.
Un livre dont on ne ressort pas indemne. Très bien écrit, révoltant et émouvant. G. L. G.

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Lila, une jeune femme de 30 ans, se réveille en pleine nuit. Son mari Maxime et leur bébé de 4 mois, Zélie, ne sont pas rentrés de la pendaison de crémaillère d’un collègue. Elle laisse des dizaines de messages sur le répondeur de Maxime, sans qu’il ne rappelle. Au matin elle décide de se rendre au poste de police pour signaler leur disparition. Commence alors une longue attente pleine d’angoisses et une enquête de police difficile. Sous le vernis du couple parfait on décèle les craquelures. Un roman éprouvant qui commence par une affaire somme toute banale pour la police mais qui prend vite un tour inquiétant. Ce livre illustre parfaitement l’adage selon lequel on ne sait pas ce qui se passe chez les gens une fois la porte du foyer refermée. G.L.G.

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Roche-Étoile. C’est le nom d’une cité aux origines mythiques, construite au milieu d’un lac. Sept ans plus tôt, toute la population a été éradiquée en l’espace de quelques heures, lorsque le mal d’onde a empoisonné ses eaux. L’archiviste y porte ses pas, pour comprendre ce qui a pu se passer et compléter ainsi les archives de son seigneur. Mais la cité devenue tombeau est-elle si déserte ? Que sont ces sons qui résonnent, au cœur de la nuit ? L’archiviste, en tentant de percer les secrets de Roche-Étoile, risque bien de contempler des eaux plus noires encore que celles du lac... Artiste plasticienne, Anouck Faure livre ici son premier roman et révèle une maîtrise de la plume égale à celle des autres outils dont elle use habituellement. Parfait mélange de fantasy gothique et de dark fantasy, La Cité Diaphane nous entraîne à la suite de l’archiviste, dans une ville à l’architecture aussi grandiose et tarabiscotée qu’une cathédrale. Au fil des pages, les masques se fissurent et les secrets se dévoilent peu à peu, révélant toute l’horreur de la vérité, dans une descente aux Enfers que n’aurait pas renié Dante. Pour un premier roman, c’est brillant ! M.H.

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