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En néerlandais, ils appartiennent au jour. En français, ils perdent le fil.
Après un an d’absence, lors d’un séjour dans sa maison d’enfance, la narratrice retrouve ses proches, une famille de pasteurs néerlandais installés en France.
Avec une douceur infinie, tout en délicatesse, elle évoque les hommes qui « perdent le chemin » : le grand-père qui perd la mémoire, le père fatigué et le fils qui se prépare à l’ordination de pasteur.
La mémoire, les doutes, les émotions et les souvenirs sont décrits avec beaucoup de tendresse et de chaleur ; les chapitres, courts mais suffisamment évocateurs, mêlent des expressions idiomatiques dans les deux langues.
Premier roman touchant et lumineux
F. W.