Sans retour possible

Au début des années 80, Jacques Kebadian entreprend un travail de mémoire sur le génocide avec le court-métrage "Arménie 1900". Rejoint par Serge Avedikian, ils se lancent dans la collecte de témoignages des survivants, tant qu'ils sont encore là. Ils fondent à cet effet l'Association Audiovisuelle Arménienne qui poursuit toujours cette oeuvre de collecte et création d'images. Plus de 25 ans après son tournage, ce film garde une résonnance forte, indispensable au devoir de mémoire et au combat contre le négationisme.