Il n'y aura pas de sang versé
Entre 1868 et 1869, quatre jeunes femmes, Toia la Piémontaise, Rosalie, originaire de la Drôme, Marie, qui vient de Haute-Savoie et la Lyonnaise Clémence se retrouvent à Lyon pour gagner leur vie en travaillant dans l'industrie de la soie. L’autrice imagine les quatre ouvrières comme des coureuses, se passant le témoin dans la course à la première grève des femmes connue. Elles ne savent ni lire ni écrire mais partagent cette même envie de réclamer l’amélioration de leurs conditions de travail et de logement. Un roman historique, social et féministe. L’écriture est belle, rythmée, furieuse. Les métaphores sont justes, les images sont fortes. Un film en noir et blanc où les rares touches de couleur sont d’une puissance inédite. S. P.
Il n'y aura pas de sang versé
Entre 1868 et 1869, quatre jeunes femmes, Toia la Piémontaise, Rosalie, originaire de la Drôme, Marie, qui vient de Haute-Savoie et la Lyonnaise Clémence se retrouvent à Lyon pour gagner leur vie en travaillant dans l'industrie de la soie. L’autrice imagine les quatre ouvrières comme des coureuses, se passant le témoin dans la course à la première grève des femmes connue. Elles ne savent ni lire ni écrire mais partagent cette même envie de réclamer l’amélioration de leurs conditions de travail et de logement. Un roman historique, social et féministe. L’écriture est belle, rythmée, furieuse. Les métaphores sont justes, les images sont fortes. Un film en noir et blanc où les rares touches de couleur sont d’une puissance inédite. S. P.