Le mariage des lapins

Note Description Couvertures : il y a une photo d'un livre avec une photo d'un chat et d'un chat

Note sur l'édition : Publié pour la première fois en 1958 par Harper & Brothers à New York

Note Idées lecture BnF : Deux petits lapins, l'un blanc et l'autre noir, passent leurs journées à s'amuser : ils jouent à trois-bonds-et-saute-mouton, à cache-cache parmi les boutons d'or et les marguerites, à cours-autour-du buisson-de-mûres... Mais vient toujours un moment où le petit lapin noir s'interrompt, l'air triste. « Oh, je pense », dit-il. Il pense à son souhait, qui est de rester avec lapin blanc pour toujours. « Et si tu espérais un peu plus fort ? » Le petit lapin noir se risque alors à ouvrir son cœur : « Je souhaiterais que tu sois tout à moi ». Entre la possessivité tout enfantine et l'amour fou, il n'y a qu'un pas que Garth Williams, dans cet album paru en 1958, franchit magistralement. Déjà paru en 1985 sous le titre Une noce chez les lapins, l'album bénéficie d'une nouvelle traduction un brin moins subtile (« Je voudrais que tu sois à moi tout seul », disait alors plus justement le petit amoureux), mais qui n'édulcore en rien l'infinie douceur du propos, des illustrations et de la naïveté de ce lapin noir dont on apprend qu'il « n'eut plus jamais l'air triste ». On fond !

Note Idées lecture BnF : Deux petits lapins, l'un blanc et l'autre noir, passent leurs journées à s'amuser. Mais vient toujours un moment où le petit lapin noir s'interrompt, l'air triste. Il se risque enfin à ouvrir son cœur : « Je souhaiterais que tu sois tout à moi ». Entre la possessivité tout enfantine et l'amour fou, il n'y a qu'un pas que Garth Williams, dans cet album paru en 1958, franchit magistralement. Cette nouvelle traduction n'édulcore en rien l'infinie candeur de ce lapin noir dont on apprend qu'il « n'eut plus jamais l'air triste ».